Je ne sais si ce début d’année est synonyme de démarrage en douceur, mais j’ai tendance à trouver nos premiers meetups doucement fréquentés…
Deux jeux au programme de cette 19ème édition et un ice-breaker !

Je ne sais si ce début d’année est synonyme de démarrage en douceur, mais j’ai tendance à trouver nos premiers meetups doucement fréquentés…
Deux jeux au programme de cette 19ème édition et un ice-breaker !
Cela faisait un petit moment que je n’avais pas pris une part active à l’animation du Playground. L’occasion faisant le larron, la nécessité d’expérimenter un jeu autour de la mise en oeuvre de Scrum me donnait enfin l’occasion de prendre une part active à la soirée. Mais tout ceci n’est que vantardise de ma part : en réalité j’étais plutôt le co-animateur de ce jeu dont ma collègue Claire avait pratiquement fait tout le travail de préparation.
Mais revenons au début de cette 18ème rencontre. Une rencontre orchestrée par Cédric Chevalérias dans les locaux de Valtech que nous retrouvions ! Au programme : 3 jeux en parallèle et un Ice-Breaker.
C’éait une demande venant d’Ideascale : faire un ice-breaker autour des rôles de Scrum. C’est Frank Beulé qui a relevé ce challenge en adaptant un autre jeu !
Nous avons conservé ce mois-ci la formule du mois précédant : un démarrage en mode « place de marché » d’un forum ouvert ! Dans la pratique, nous n’avions pas de jeu « à expérimenter » ce mois-ci. Mais Alexis Nicolas avait amené un Kanbanzine. C’était fort à propos !
L’Agile Playground ne se repose jamais … ou si peu ! Après une rencontre organisée mi-Juillet, on reprend nos bonnes habitudes dès mi-Septembre. Pierrick fait office de grand orchestrateur aujourd’hui. Et il nous propose un mode d’organisation inspiré de l’open-space, avec 2 catégories de propositions :
Le formule marche bien, nous recueillons quelques propositions, largement assez pour animer la soirée, pas trop pour ne pas être obligé de rentrer dans une gestion compliquée ! Voilà dejà une formule que l’on pourra rééditer !
Un conflit d’agenda m’a fait raté le 14ème rendez-vous, c’était donc une bonne surprise de voir un Agile Playground programmé en cette première quinzaine de Juillet, alors que je croyais nos rendez-vous interrompus jusqu’en Septembre !
Au programme de cette soirée, un ice-breaker sans prétention mais amusant proposé par Frank Beulé et une traditionnelle expérimentation de jeu.
Retour chez Valtech pour cette nouvelle édition des Playgrounds. Aujourd’hui nous avions le choix entre deux jeux aussi attrayants l’un que l’autre : la Pompafric (présentée à l’Agile Game France 2014) mais que je n’avais pas expérimenté et le Values Advocacy. C’est Pierrick qui nous présente le programme.
Pour amorcer joyeusement cette soirée, on a droit à un “nombre secret”, le même jeux que nous avions pu essayer lors de l’Open Space Agile France. Du coup, me voici exclus du jeu, c’est pas juste ! J’observe les efforts plus ou moins vains des participants pour se faire comprendre…
L’alignement final est assez étrange : on y a des “ordonancements locaux” signe qu’il a manqué une vérification de cohérence entre les groupes. Une mention spéciale à celui qui a tenté de se faire comprendre en convertissant son nombre en “taille de Schtroumph” !
Finalement, je me décide pour le Values Advocacy. En entrant dans la salle, on découvre le déroulement de la session affiché au mur, sous forme de fresque !
Le principe est assez simple : 4 équipes et les 4 valeurs agiles … et leurs “opposés”. On effectue une série de batailles : deux équipes s’affrontent pour défendre une valeur du manifeste et leur contraire. Les deux autres équipes forment le jury. Ensuite on tourne. C’est donc une sorte de tournante, mais en tout bien tout honneur. A la fin du jeu, chaque équipe aura eu l’opportunité de défendre une fois une valeur, une fois l’opposé d’une valeur, et de faire partie du jury deux fois. Il y a ensuite un système un peu compliqué pour compter les points, mais ce n’est pas très important.
Action !
Chaque équipe prépare son plaidoyer. Pendant ce temps les membres du jurés circulent pour évaluer les idées qui émergent.
Un premier tour de vote a lieu à la fin du temps de préparation des plaidoyers.
Chaque équipe doit ensuite défendre ses idées et convaincre. Comme le fait ici Pascal.
Ou Corina
Un second tour de vote a lieu à l’issu de cette étape. La note final est une aggrégation un peu curieuse des deux votes.
Le second round se fait selon le même modèle (mais pas les deux mêmes équipes).
A l’issu des deux premiers round : une rapide rétrospective.
Nous remontons essentiellement deux points :
Pas possible d’adresser le second point dès maintenant. Mais le premier est pris en compte : nous diminuons le temps de préparation de 8 minutes à 5.
C’est donc reparti avec un rythme un peu plus soutenu. On prépare les argumentaires…
On s’active pour défendre ses positions.
L’une des équipes se trouve réduite à 3 membres, mais visiblement le nombre ne fait pas la force…
Et de nouveau, bien sûr, les plaidoyers !
Par deux fois les antithèses agiles ont battu les valeurs du manifeste et l’inverse est aussi arrivé par deux fois ! Que doit-on en penser ?
Au fur et à mesure du jeu, les plaidoyer ont aussi évoluer pour donner plus d’impact à la forme. Cela a finalement peu joué. Une équipe est d’ailleurs tombé dans le travers d’articuler complètement l’argumentaire autour de la forme, mais la faiblesse de cet argumentaire a joué en leur défaveur (alors même qu’ils défendaient les valeurs du manifeste) !
La réduction du temps de préparation a donné plus de rythme à la seconde partie, mais comme vous le voyez ci-dessous, l’impact sur le nombre d’arguments développés, bien que visible, n’est pas si important que cela.
Le jeu est réellement plaisant et nous oblige à réfléchir honnêtement non seulement à nos valeurs agiles que nous prenons pour acquises, mais aussi à ce que peuvent apporter leurs opposés. Ou au moins à comprendre à ce que les anti-agilistes y trouvent.
Curieusement d’ailleurs, je me suis retrouvé confronté dès le lendemain à ce cas de figure ! Nicolas a évoqué l’usage de ce jeu dans des groupes composés d’agilistes et d’anti-agilistes (ou de nouveaux venus). Je ne suis pas certain que l’on y obtienne les résultats escomptés. Notre population a fait un bon travail à argumenter solidement les deux côtés. Des anti-agilistes feraient-ils de même ?
Bref, j’ai passé un très bon moment. Mais je m’interroge encore sur l’usage que l’on peut faire de ce jeu. Vous retrouverez le vécu de la session sur le billet de blog de Nicolas.
Comme à l’accoutumé, on termine notre soirée de manière informelle autour d’un petit verre ou d’une bière.
Je ne m’éternise pas ce soir, j’ai une journée chargée le lendemain. Justement avec des agile games !
Cela faisait un moment que l’Agile Playground m’échappait. La faute à un agenda difficile à concilier. C’était réglé pour cette fois. Nous nous retrouvions de nouveau dans les locaux de CLT pour cette nouvelle édition.
Au programme un jeu (et un seul) : Au tableau ! Ce jeu a largement été promu par Alex Boutin, bien qu’il n’en soit pas l’auteur.
Le but du jeu est simple : on nous donne la situation d’un portefeuille de projets, et à partir de là il faut trouver la forme de “management visuel” donnant le meilleur impact. 2 itérations de 20 minutes sont prévues, entrecoupées d’une dizaine de minutes de rétrospective. Nous n’étions pas nombreux, nous avons donc formé 3 équipes de 6 ou 7 personnes.
L’une des équipe disposait d’une table
Les deux autres utilisaient une tenture adhésive. Avec pas mal de difficultés à faire tenir dessus ce que nous voulions.
Petit (gros) biais de l’exercice : y participaient des personnes rompues au management Visuel ou au Kanban. Le résultat de la première itération montrait des résultats plutôt très convergents, avec quelques particularismes locaux.
La seconde itération intégrait bien de nouveaux éléments, mais qui ne posaient guère de problème à des habitués. Au final, l’inspiration transverse aidant, les résultats se montraient réellement semblables !
Il y avait peu à dire sur les directions prises par chaqune des solutions. La discussions de fin a plutôt porté sur les différentes dynamiques de groupes, je pense que ce n’était pas dans la cible de l’exercice. J’en tire quelques conclusions :
Pour changer un peu, l’Agile Playground de ce mois ne déroulait pas chez Valtech, mais dans les locaux de CLT Services. Un espace un peu plus réduit, donc une contrainte de places plus importante. Elle avait été fixée à une trentaine de personnes. Je m’étais dépêché de m’inscrire. Youpi, tant pis pour les autres …
3 jeux étaient en lice. J’avais fixé mon choix sur celui de Yannick Ameur
Comment recruter agile ? Peut-on recruter agile ?
Yannick était ce soir-là le maitre de cérémonie pour ce défi !
Votre mission, si vous l’acceptez consiste à créer la fiche poste de votre job que l’on va afficher et trier.
S’en suivent les entretiens avec les candidats. Tout d’abord en mode “old school”. Avec vôtre serviteur pour être honnête… Puis en mode “agile” en faisant participer toute l’équipe.
Après, c’est le débriefing et les leçons tirées de l’exercice.
Yannick nous fait le plaisir de mettre à notre disposition le support servant de trame à l’atelier. Le voici donc.
On termine comme à l’acoutumée autour d’un verre et de longues discussions qui nous font toujours rentrer bien tard dans nos penates !
Nos discussions ont pas mal tourné autour du coaching : qu’est-ce qu’un coach agile ? Est-ce un coach sportif, un coach miroir “posture basse”, un expert, un mentor, etc… ou un mixte de ces différents rôles ? Le question est trop large pour que je m’étende dessus aujourd’hui. Un autre jour peut-être dans ces colonnes …
A peine terminé le ScrumDay, nous voici de retour aux affaires, ou plutôt à l’agile playground ! Le rituel est rôdé et je tire mon chapeau aux organisateurs de tenir le rythme et la distance !
Pas d’enregistrements avec les balles de ping-pong, cette fois !
On rentre rapidement dans le vif du sujet, 2 sujets nous sont proposés :
Entre l’attrait de la nouveauté et un jeu éprouvé mais de qualité, le choix semble cornélien.
Pour ma part je penche vers la nouveauté. Va pour La Crevasse, même si je n’ai pas le début d’une idée de ce que cela peut être…
Faites-vous pleinement confiance aux personnes avec qui vous travaillez ? Etes-vous convaincus qu’ensemble nous pouvons dépasser nos objectifs ?
Ce jeu très simple se joue en 3 phases :
… Puis on recommence avec des largeurs de crevasses supérieures, jusqu’à les franchir toutes ou que mort s’ensuive (bon, peut-être pas…)
C’est une activité simple, qui ne donne peut-être pas quelque chose toute seule, mais peut servir à s’engager physiquement avant un travail exigent ou lorsque l’on va devoir opérer ensemble et que la confiance n’est pas encore acquise.
C’était très court, mais instructif. On a terminé comme on termine d’habitude, comme vous pouvez le voir…
Je n’ai pu résister à ce dernier clin d’oeil : Arnaud se campe à 30 centimètres de mon objectif ! Je ne me dégonfle pas et le prends en photo. Damnation ! Le bougre est photogénique …
Nous archevons ici cette nouvelle soirée de l’agile playground. Le mois de Mai est parsemé de jours fériés et de ponts, mais j’espère que nos chers organisateurs trouveront le moyens d’y programmer l’épisode 8 !
Pour cette 6ème édition de l’agile playground, l’organisation nous proposait une petite nouveauté : un seul jeu rassemblant l’intégralité des participants !
Un jeu au nom fort alléchant d’ailleurs : The Penny Game on Acid, une variante plus chaotique (donc plus réaliste) du classique “Penny Game” (que je ne connais toutefois pas !
Au tour de Dov, animateur et auteur de cette variante de nous exposer son idée.
Dov nous a également réservé une petite surprise en échauffement. Plutôt que le détailler, je vais simplement vous dire : vous n’aviez qu’à être là !
Le Jeu lui-même nécessite pas mal d’explication préalables. De quoi noyer son homme sous les artifices du mode de fonctionnement.
J’ai quand même compris que l’on avait un chef de projet, un client et un VP (respectivement de droite à gauche). Je dois avouer qu’ils ont fort bien joué leurs rôles respectifs. Stéphane était criant de vérité en client arrogant et condescendant !
Le but du jeu ? Une chaine de production pour ranger des pièces orientées correctement !
Et c’est parti !
VP et client attendent patiemment d’avoir l’occasion d’étriper leur première équipe !
Pourvu qu’il ne nous arrive rien !
Faut pas croire, aligner les pièces, c’est tout un art, presque un métier !
Chaque plateau passe l’inspection plus que minutieuse du client. Si ce n’est pas bon, il faut recommencer.
Nous étions très nombreux dans la salle, une partie importante des participants ont joué le rôle d’observateur, prenant des notes sur le déroulement.
Les participants sont aussi invités à noter leurs remarques. Chose que je n’avais pas comprise.
Une grande rétro conclut le jeu.
Pour ma part, la façon dont nous avons déroulé le jeu m’a pas mal surpris. Plutôt qu’essayer d’améliorer le fonctionnement de la “fabrique”, nous avons simplement tenté d’être le plus productifs possible !
De mon point de vue, cela provient de deux facteurs:
Donc, au final, ce jeu a surtout mis en valeur notre aptitude à revenir aux comportements primaires, avec pourtant une audience composée d’agilistes !
Après l’effort, le réconfort, comme on dit. Quelques échanges sur le jeu que j’ai écourté pour cause de contrainte le lendemain (j’en parlerais dans un autre post, si j’ai le courage…)
Mersi à Dov pour cette animation. Le challenge était particulièrement élevé, aussi bien sur le fond que sur l’animation d’une assembléséquente, et ce pratiquement seul !
La suite le mois prochain pour Agile Playground #7. J’espère !