Note : 7 ; Une boite à outil plutôt qu’un cadre de coaching
Faire une note de lecture d’un livre dont j’ai été l’un des relecteurs principaux n’est pas une tâche facile. De plus, j’avoue n’avoir que peu goûté les ouvrages que j’ai pu croiser sur le coaching agile. Peut-être bien est-ce au fond un manqué d’intérêt de ma part sur ce sujet ? Voyons ce qu’il en est.
Tout d’abord l’ouvrage : avec 273 pages découpés en 21 chapitres plus une conclusion il est de taille moyenne. Moi qui apprécie les chapitres de taille raisonnable, je serais plutôt satisfait, toutefois il y a une forte disparité de longueur des différents chapitres, mais rien de bien gênant.
Enfin, il faudra noter le découpage en 5 parties qui reflète une progression dans la démarche de coaching.
La première partie campe le contexte. Il faut compter 3 chapitres sur 40 pages pour cela. Si le premier d’ntre-eux parle d’agilité, ce sont bien les « comportements attendus » figurant en dernière page qui constituent le point dominant du propos. Le second chapitre forme un contrepoint mettant en relief au travers d’exemples fictifs mais inspirés de la réalité, la différence entre ce qui devrait être un acquis et l’observation du terrain. Le contraste est saisissant. L’explication arrive au 3ème chapitre avec, entre autres, l’homéostasie et le poids de nos émotions que l’auteur compare à un GPS interne.