Meetup Evernote entre amis

Pierre Journel n’organise plus aussi souvent les Meetup Evernote qu’il en avait l’habitude. Il faut dire que sa nouvelle aventure, faire de La Chaine Guitare une startup l’occupe énormément. Dans ce contexte, nous devons lui être reconnaissant de parvenir à distraire du temps pour organiser épisodiquement ces rencontres.

Cette rencontre-ci ciblait plutôt les nouveaux venus à la plateforme de prise de notes, donc pas des gens comme moi en principe. Mais outre le plaisir que j’ai à me rendre à ces rencontres, j’y découvre invariablement de nouvelles choses.

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Le tour de l’application desktop

Tout d’abord le tour de l’application Evernote Mac pour les débutants. On s’arrête un peu sur la nouvelle fonction diaporama, ou la possibilité de créer une table des matières par simple multi-selection de notes ! S’en suit un nouveau round de l’éternelle question : tags ou carnets ?

En ce qui me concerne, j’avoue utiliser les tags avec moins de conviction qu’hier et utiliser un peu plus de carnets. En fait, j’ai l’impression que Pierre fait comme moi sur un point : il créé un carnet quand il s’aperçoit qu’il finit par écrire beaucoup de notes sous le même thème. De toute façon, c’est clairement la recherche full text qui nous sert le plus à retrouver nos notes ! Le retour des participants sur les tags est :

  • Une grande discipline dans leurs usages : toujours les utiliser, sans les multiplier à priori.
  • Concevoir le système de tags selon l’usage que l’on en aura dans 2 ans ! J’avoue que ce dernier point me pose problème : c’est typiquement le genre de question que je ne prétenderais jamais être capable de répondre !

En parlant de recherches, Pierre nous montre une fonctionnalité que j’ignorais : la possibilité de faire des recherches full text, mais spécifiques :

  • Sur des tags : “tag:xxx”
  • Sur des carnets : “notebook:xxx”
  • Dans les titres : “intitle:xxx”

Pierre nous montre aussi la création de raccourcis dans la partie gauche. Je n’ai jamais pensé à utiliser cela, pas sûr que je m’y mettre… Nous voyons aussi l’interfaçage avec skitch pour modifier les images : ça il faudra que j’essaie !

Je découvre aussi en passant la fonction de lecture orale du texte avec Evernote Clearly (dont je me sers beaucoup pour récupérer poprement des posts qui m’intéressent).

L’actualité Evernote

Pas de grandes nouveautés aujourd’hui dans les fonctionnalités coeur. Evernote semble très occupé avec du cleanup de code. Nous avons évoqué le post de Jason Kincaid auquel à fait suite une réponse de Phil Libin ( ) ! Evernote va concentrer ses forces sur la qualité et la stabilité du code en 2014.

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Evernote doit rester simple, efficace, fiable et performant, donc j’approuve en partie ce choix. Par contre, certaines fonctionnalités font partie de ma liste au Père Noel:

  • La possibilité de générer un texte converti depuis une note manuscrite. J’en avais parlé dans mon essai du Livescribe, nous en avons reparlé ce soir.
  • La possibilité de créer des carnets d’index, référençant des notes figurant dans des carnets. Ce serait utile pour synchroniser des carnets sur mobile. Pierre nous a décrit comment il déplace les notes dans un carnet “offline” pour cela, l’obligeant ainsi à redéplacer plus tard sa note dans l’autre sens ! Pierre en parle d’ailleurs dans la dernière émission de son Podcast sur La Chaine Eléphant.

Démonstration du Livescribe Sky

C’est ma partie. Je ne vais pas vous refaire l’essai que j’ai déjà posté ici. J’avais amené tout le matériel, y compris les carnets. Je n’ai malheureusement pas été capable de connecter le stylo au Wifi local. Tout comme on avait pu jouer au voyeurs avec les notes de Pierre, on a pu faire la même chose avec les miennes. Egalité !

Fin de soirée

Une très bonne soirée, même si je suis arrivé un peu en retard. Pierre a été un peu plus rapide que moi pour poster son compte-rendu.
Je fais une partie du chemin de retour avec l’un des participants. Et je m’apperçois qu’il s’agit de Guillaume Vendé, le co-animateur du Podcast niplife ! Ca ne vous dit peut-être rien, mais je suis un (très) fidèle du grand frère de la famille, c’est à dire niptech podcast. Guillaume et Pierre se connaissent car ce dernier avaité té le premier invité de niplife où il avait été question de GTD.

C’est tout pour aujourd’hui, en espérant ne pas se languir encore un an pour le prochain meetup.

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Essai du Livescribe Sky Wifi Smartpen

Découverte de la bête

Le Livescribe est dans la lignée directe du Logitech io : un stylo électronique fonctionnant sur une base clasique (papier + pointe à bille) mais sur un papier muni d’une trame très fine permettant à la caméra et à l’électronique subordonnée de se repérer et de digitaliser l’écriture.

L’ensemble se présente dans un packaging plutôt sommaire (moins bien fini que son prédécesseur). En ouvrant la boite, on constate quelsues différences :

  • Le stylo est bien plus fin : on le tient mieux en main, et il fait moins “alien” quand vous le dégainez en réunion. Il reste quand même assez massif…
  • Il n’y a plus de socle de ravitaillement, la connexion USB (indispensable ne serait-ce que pour recharger) se fait directement entre le stylo et l’ordinateur. Câble fourni, bien sûr. C’est plus simple, c’est mieux.
  • Le stylo lui-même est fourni avec non pas avec un capuchon mais plutôt un embout enfichable pas pratique du tout, que l’on aura tôt fait de perdre. D’ailleurs, il en est fourni 2.
  • On ne saurait rater le petit écran d’affichage, en-dessous du bouton marche/arrêt. Indispensable à différents niveaux d’utilisation. Curieusement, il fait bien le boulot.
  • Enfin le stylo est équipé d’un micro qui permet un enregistrement et qui est synchronisé (vraiment synchronisé !) : la classe.

Sur cette photo, vous pouvez comparer le Livescribe (à l’avant plan) avec le Logitech situé juste derrière. L’embout qui sert de capuchon est situé sr la gauche du stylo. A comparer avec le vrai capuchon du Logitech ! L’écran du Livescribe est égallement visible.

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Au démarrage !

Ce stylo est Wifi et utilise Evernote pour déverser les pages numérisées. Si vous êtes un accroc d’Evernote (comme moi), c’est franchement bien. Nous reviendrons là-dessus. On pourrait croire que cela va nous dispenser d’installer quoi que ce soit l’ordinateur si tout passe par le cloud ? Pas tout à fait. Donc en fait, pas du tout !

Il y a un petit soft à installer pour le setup de base du stylo et pour charger les mises à jour. Ce soft pilote le cable USB dans cette configuration. Il y a aussi de la configuration à faire sur le site Livescribe pour enregistrer le stylo et autoriser le déversement des notes sur votre compte Evernote.

Une partie importante de la configuration du stylo est saisie complètement sur le stylo lui-même. La méthode est extrêmement originale et déroutante au premier abord : on selectionne les paramètres à configurer et on saisit les valeurs en pointant le stylo lui-même sur une carte spéciale où figure un clavier fictif !

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Ce clavier fictif figure en première page d’un cahier “starter” fournit avec le kit. Livescribe founit quelques fiches en sus, on ne sait jamais. Au passage notons que Livescribe est plus pingre que Logitech sur les fournitures. Le cahier starter n’est pas extraordinaire (et pas bien gros non plus) il faut penser rapidement à se réapprovisionner.

Hélas seuls certains cahiers sont disponibles en France. Il existe des carnets genre Moleskine, mais qui ne sont disponibles qu’aux USA. J’en ai commandé 2 : le coût du carnet chez Amazon plus la livraison, ça ne fait pas bon marché !

Autre chose orginale concernant les carnets : Livescribe détecte les carnets utilisés et ouvre un carnet Evernote différent pour chacun d’entre-eux ! C’est excellent. Par contre impossible de modifier le titre de la page, c’est très agaçant.

A l’usage

C’est la simplicité même: le bouton marche/arrêt. Ensuite, il ya des commandes pour débuter, arrêter ou mettre l’enregistrement en pause en bas de chaque page !

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Si vous saisissez le texte à un endroit où le Wifi du stylo n’est pas configuré (c’est le cas le plus fréquent), il suffira de l’alumer de retour à l’endroit où le Wifi est configuré : la synchronisation se fera toute seule ! De l’autre côté, la synchronisation dans Evernote se fait comme vous en avez l’habitude.

Maintenant, il faut en venir à la très très mauvaise nouvelle !

Pas de conversion de texte !

Quand j’utilisais le Logitech io, il y a 237 ans, je disposais d’un petit soft de reconnaissance de texte. Il n’était pas parfait, mais fonctionnait raisonnablement bien moyennant un petit apprentissage.

Le prédécesseur du modèle Wifi, le pulse ne fonctionnait pas via Evernote. Mais une société tierce, Vision Object proposait un soft pour convertir le texte depuis le Livescribe Desktop. Comme le Livescribe Wifi fonctionne sans le Desktop, on n’a plus accès à cette possibilité.

Le seul espoir réside dans l’apparition d’une fonctionnalité de conversion dans Evernote. Mais à priori rien ne semble prévu, même en version Premium !

En conclusion

Le gadget est sympathique. Mais l’absence d’un outil de conversion qu’on accepterait de grand coeur de payer en plus m’empêche de recommander ce modèle. Je garde espoir qu’Evernote nous propose quelque chose dans un horizon pas trop lointain. C’est un gros handicap pour moi car j’utilise mes notes manuscrites pour mes blog post en grande partie.

L’absence de conversion est d’autant plus frustrante qu’Evernote sait parfaitement reconnaitre l’écriture manuscrite et la rend “cherchable” !

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Donc si votre besoin est juste de collecter des note et de pouvoir faire des recherches à l’intérieure, les possibilités offertes ici peuvent vous suffire. Mais c’est plutôt limitant.

Pour vous permettre de vus faire une idée, voici une pertie de cette article sous forme manuscrite saisie avec le Livescribe.

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2.0, I me mine (opus 2013)

Comme je l’avais fait sur les deux années précédantes(donc 2011 et 2012), voici mon l’état de mon usage du Web 2.0

Cette année écoulée est marquée des révélations de Snowden. La NSA a transformé l’Internet en source d’information, bien d’autres pays sont sur la voie. Je pensais déjà à ce que je met sur le Web en terme d’information pouvant être espionnée. Il faut se faire à l’idée que ce ne plus une question de pouvoir l’être, mais de l’être vraiment.

De moins en moins à plus du tout

Yammer : J’utilisais peu du temps du SUG. Je ne fais plus partie du SUG, donc maintenant c’est “plus du tout” !

Quora : J’utilisais peu. Là il faut que je l’avoue tout net, j’ai fait une année complète sans y aller. Donc, termeiné ? On verra…

Diigo : J’étais parti avec pas mal d’enthousiasme sur cet outil de bookmarking. Au final, je me suis lassé de continuer son utilisation.

Producteev : C’était un peu mon outil GTD. Des détails ergonomiques un peu crispant ont fini par avoir raison de ma pugnacité. C’est bien dommage. Peut-être essaierai-je un outil concurrent ?

Ideascale : Je l’avais fait figurer ici car j’étais au bureau du SUG. Depuis que je n’y suis plus, mon usage en est devenu anecdotique.

Pas plus, pas moins … mais peu

Google Doc : J’aimais pas avant, j’aime toujours pas ! Je l’utilise pour partager des choses avec des collègues, mais c’est tout, et contraint et forcé !

Google plus : C’est surtout un outil de notification pour moi. Parfois je lis des posts dans certaines communautés… en fait, ce sont bel et bien les communautés que j’ai tendance à trouver pratiques.

github : Ca ne fait pas terrible de dire ça, mais j’utilise très peu github. Juste un peu les gist…

Stackoverflow : Il est et reste le site incontournable pour répondre à n’importe quelle question de développement. Même si c’est rare, je cntinue à en faire l’expérience !

Trello : Quelques boards personnels et quelques boards professionnels. Je garde un rythme modéré mais réel sur l’outil.

Meetup : Je n’administre plus le meetup du French SUG, mais je reste connecté à 3 ou 4 groupes qui y organisent leurs rencontres.

Slideshare : Là non plus, ce n’est pas un site que je fréquente régulièrement. Juste pour y poster mes présentations 4 ou 5 fois par an…

Disqus : J’ai connecté mon blog à Disqus. Mais pour être honnête, j’ai très peu de commentaire par ce biais. J’en ai bien plus par LinkedIn d’abord, et par Google plus ensuite !

Capitaine Train : La plupart de mes déplacements en train sont pris en charge par l’entreprise. Mais j’utilise bien volontier cet excellent service quand je dois le faire moi-même. Donc peut-être 2 fois par an ou quelque chose comme ça…

Viadeo : Le LinkedIn Français est un incontournable. On y accepte des contacts, j’y notifie les posts de mes blogs (ça ne semble pas porter beaucoup…). Et dans tout ça, mon profil n’y est même pas à jour !

LinkedIn : Si Viadeo est le LinkedIn Français, LinkedIn est le Viadeo international. J’entretiens avec beaucoup d’attention mes contacts. Et mes informations y sont à jour. L’un dans l’autre, je l’utilise un petit peu plus que Viadeo, également pour les notifications de post. Mais ce n’est pas mortel quand même…

Pas plus, pas moins … mais plutôt pas mal

Dropbox : Le stockage en ligne reste un de mes très gros usages. J’y stocke vraiment beaucoup de choses. Bref, usage quaotidien et intensif. Aussi bien “pro” que “perso” !

Evernote : Je suis toujours un utilisateur intensif de DropBox. Et même si cela ne se justifie pas toujours pas, j’ai désormais un abonnement Premium. Et aussi un Livescribe (sur lequel je ferais bientôt un post). Bref, je l’utilise quotidiennement : usage professionnel, personnel, brouillons de mes posts (y compris celui-ci), etc.

GMail : Il faut bien l’avouer, aujourd’hui pratiquement tous mes mails sont sur GMail. Autant pour la confidentialité…

Twitter : Il s’agit surtout d’un usage pro, qui tourne autour de la thématique de l’agilité. C’est aussi pour moi un outil de notification. Pour moi, le web “social” tourne presqu’exclusivement autour de Twitter. Bien que je ne sois pas un fondu des réseaux sociaux…

Tumblr : Mon volume de posts est disons … intéressant. Avec plus de 200 posts par an, on peut dire que c’est une plateforme que j’utilise intensivement !

Plus aujourd’hui qu’hier

Flickr : Depuis que j’ai fait l’acquisition d’un appareil numérique digne de ce nom (un Olympus Pen), mon volume de photo a bien grimpé. Notament lors des évènements pro. Je poste toutes mes photos pro sur Flickr, ne serait-ce qu’à cause du redimensionnement qu’effectue ce service pour faire rentrer mes prises de vues dans le blog. Ce redimensionnement est réellement d’excellente qualité.

Dashlane : J’ai pratiquement cessé d’avoir un même mot de passe pour plusieurs services. J’ai aussi arrêté les mots de pase triviaux. Tout cela grâce au coffre-fort électronique. Esérons que la confidentialité affichée soit réelle … et que le service dure très longtemps !

Issuu : J’utilise désormais exclusivement ce service pour partager des PDF sur mon blog (malgré un techno Flash…). Donc de plus en plus, que ce soit pour mes propres textes, ou d’autres du domaine public que je souhaite partager.

Les nouveaux venus

Goodreads : Le seul nouveau venu de l’année écoulée ! Goodreads permet de partager sa liste de lecture et de consulter celles des autres. Bref, tout ce que l’on a envie d’échanger sur la lecture !

Donc peu de grosses nouveautés pour cette année. En fait, j’ai même un peu fait le ménage. A l’année prochaine !

Evernote France Meetup 2013 (en images)

Comme l’an dernier, Evernote France nous a convié en ce début Décembre à un meetup assez corporate sur l’état du monde Evernote. L’occasion était bonne de glaner des informations, t-shirts et autres rencontres inattendues.
La rencontre se faisait dans un espace de coworking, Le Loft 50 Partners qui est également un incubateur de startups. L’un et l’autre fleurissent décidement à tous les coins de rue de la capitale, je finis par être regardé avec suspiscion et peut-être même méprisé à ne pas être moi-même entrepreneur ! Il y a matière à réflexion.
Mais ce n’est pas la reflexion du jour. Ici, on parle Evernote, et on fait salle comble !

En attendant le début (3)

On a aussi fait le plein de speakers, même si les interventions seront courtes.

En attendant le début (2)

Cristina Reisen

Cristina est manager d’Evernote pour la région Europe ! On fait d’abord le compte des utilisateurs : c’est 80 millions de par le monde. On n’a pas celui de la France, mais sachez qu’il a doublé depuis l’an dernier.

Cristina Riesen (2)

Quelques faits également sur l’année écoulée :

Bref le message est clair : Evernote s’étend, aussi bien sur l’écosystème que sur les verticales !

Julien Boedec : La plateforme Evernote

On a de la chance cette année : tous nos intervenants s’expriment en Français ! Cela dit, j’ai été un peu déçu par cet intervenant. J’espérais plus “d’insights” sur la plateforme Evernote. On en a pratiquement pas parlé, mais plutôt eu un apperçu sur ce qui gravite autour !

Julien évoque 2 axes de développements :

  • Le travail conjoint avec les partenaires : IFTTT, Dolphin browser, postach.io, etc…
  • L’évènementiel en relation avec l’entreprenariat (encore…) : hackathons, meetups dev, accélérateurs…

Bref, pas grand chose à me mettre sous la dent.

Xavier Delplanque, senior product manager

Si j’ai été déçu par Julien, ce n’est pas le cas de Xavier. Son exposé est en fait une excellente surprise, même si je ne pourrais résumer son intervention ici.

Xavier Delplanque

Xavier nous explique le processus de travail et de création autour de l’expérience utilisateur. En l’occurence ici : comment améliorer la première impression sur plateforme mobile. Les nouveaux partenariats avec des sociétés telles qu’Orange drainent en effet de nouveaux utilisateurs potentiels à même de quitter l’application si les premières minutes (voir secondes) d’utilisation ne sont pas convaincantes !
Ainsi l’orateur nous explique le travail itératif autour des solutions, s’adossant sur de l’A-B testing, où finalement les fonctionalités sont injectées uniquement quand elles ont prouvé avoir un impact réel.
Bref un court mais instructif voyage dans le monde de l’UX et du design thinking… Merci Xavier !

Maxime Garrigues : Evernote ambassadeur

Ambassadeur Evernote, Maxime nous parle de sa façon d’appréhender Evernote. Pour lui, l’important est de pouvoir consacrer plus de capacité mentale à l réflexion et donc de lâcher prise sur les choses dont il faut se souvenir et laisser Evernote s’occuper de cela !

L’autre usage principal est en tant que support du GTD.

Cocktail

Ces présentation se concluent par le très classique buffet qui sont une occasion d’échanger avec des visages connus ou moins connus.

Cocktail (1)

Parmi les visages connus : Pierre Journel, qui un peu relâché les efforts autour des meetups Evernote pour se consacrer à une activité d’entreprenariat autour de la Chaine Guitare. Celle-ci jouit déjà d’une belle communauté. Pierre travaille à proposer du contenu payant. Cela commence à porter ses fruits, mais c’est un travail de longue haleine pour lequel je lui souhaite bonne chance.
Dans la série des rencontres inattendues, j’ai pu échanger un peu avec Grégory Lefort, l’un des créateurs d’Azendoo. Il a brièvement évoqué ses reflexions actuelles sur la plateforme et sa volonté de faire des choses qui soient réellement différentes de ses concurrents. J’aurais pensé qu’il aurait focalisé sur Basecamp. En fait il semble d’avantage en concurrence avec Asana.

L’invité surprise

Cristina Riesen l’avait évoqué à quelques reprises : nous allions avoir un invité surprise. J’avais parié, dans mon fort intérieur, sur Phil Libin, le créateur et CIO d’Evernote. Apparemment, j’ai gagné.

Phil Libin (2)

Il est arrivé vers la fin de soirée et nous a gratifié d’un court speach de remerciement à la communauté Evernote. Les nombreuses groupies se sont vites agglutinées autour du big boss. Pas moi. Sa visite était très sympathique, mais en fait je n’avais rien à lui dire !

Phil Libin (1)

Précédent LeWeb, j’imagine que nous aurons droit à un meetup du même genre l’an prochain ? Pour ma part, les meetups plus orientés contenu de Pierre Journel me manquent un peu.

2.0, I me mine (opus 2012)

J’avais fait le point début 2012 sur les outils 2.0 que j’avais utilisé en 2011. Une année s’est écoulée. Faisons le point sur ce qu’il en est aujourd’hui.

J’utilise beaucoup moins, voir plus du tout

Yammer : Certes c’est toujours l’outil du SUG, mais je n’y vais plus que quand j’y suis obligé. J’avais évoqué l’an dernier son manque de polyvalence, c’est sans doute ce qui a fini par me lasser.

Podio  : On en avait parlé, puis on a laissé tomber, du moins pour l’instant. Plus de Podio à l’horizon pour moi.

Google Doc : Je sais bien que ça ne fait pas très Geek de dire ça, mais je n’utilise pas Google Doc (ou plutôt Google Drive maintenant) pour mon usage personnel. Je n’aime pas travailler dans des documents dans une interface Web et vous viendrez me réveiller quand la suite Google sera au niveau de Microsoft office ! Cela dit, je l’utilise (à mon corps défendant) dans le cadre professionnel. Mais je trouve l’usage hors ligne peu convainquant et le système de rangement incompréhensible.

Google Plus : Je n’ai rien contre Google Plus, mais on ne peut pas être partout. Je n’y vais guère parce que je n’en ai pas pris l’habitude, probablement pour l’essentiel. Je m’en sers pour buzzer sur certains de mes posts.

Quora  : De temps en temps, j’ai un accès de courage et je balaie des sujets pour voir si j’ai une réponse à y apporter. Disons 3 ou 4 fois dans l’année. Mais jamais hélas je n’y ai trouvé les réponses à mes interrogations ! J’attribue le temps que j’y passe parfois à répondre à ma volonté de maintenir ma visibilité sur la toile… Bon, je dois quand même avouer que je suis très fier d’avoir Jeff Sutherland dans mes followers !

IFTTT  : Le service est génial, tellement génial qu’il parvient à se rendre invisible ! Hélas, le changement des conditions d’utilisation de Twitter en ont rendu l’usage que j’en ai pratiquement inopérant ! Shame on you, Twitter !

Je continue à utiliser

Trello  : Je trouve toujours le service aussi simple, efficace et agréable. Trello est plus adapté aux projets qu’au fil de l’eau. Je m’en sert pour mes projets perso, petits ou gros, mais très irrégulièrement. On est parti pour utiliser cela sur nos projets du SUG, ce que je trouve bien.

Meetup  : Il reste l’outil principal du SUG. J’y ai découvert deux nouvelles communautés cette année : Lean Startup France (http://www.meetup.com/lean-startup-france/) et Agile Playground (http://www.meetup.com/Agile-Play-Ground/). Je devrais aussi y adjoindre la petite communauté Evernote (http://www.meetup.com/Evernote/Paris-FR/) que j’ai commencé à fréquenter (merci à Pierre Journel de l’avoir créé).

GMail  : Toujours aussi important pour moi, rien à ajouter !

Diigo  : Cet outil de bookmarking reste d’une utilisation sporadique pour moi. Visiblement, cela va le rester. Pourtant la fonction d’annotation est plutôt sympa…

github  : Pas encore un gros utilisateur à titre privé. Par contre, je commence à utiliser gist, que j’ai commencé à intégrer à Tumblr !

Stackoverflow  : Toujours aussi pertinent quand il s’agit de trouver une réponse à un problème de développement. Quora n’est pas prêt de prendre le dessus !

Slideshare : Je ne l’avis signalé l’an dernier, c’est maintenant corrigé. Toutes mes présentations publiques y sont consignées. Il faut aussi dire que j’intègre cela de bonne manière dans Tumblr. 

Twitter : Je ne suis pas un enragé de Twitter, mais de toute évidence un utilisateur régulier sans aucun doute. Je ne poste pratiquement jamais durant ma journée de travail (il faut bosser aussi, n’est-ce pas ?) et en fait je ne suis pas non plus les tweets en journée ! C’est donc le soir dans les transports que je passe en revue une bonne partie des tweets de la journée et je met en favoris les liens qui ne peuvent se lire facilement sur l’iPhone. Comme tout le monde, je n’en lis pas la moitié en différé. Et ne plus avoir mon canal IFTTT n’arrange rien à l’affaire…

LinkedIn  : Je n’en fais ni plus ni moins que ce que j’en faisais avant. La fin de l’intégration Twitter ne change pas grand chose pour moi. Mais je regrette l’abandon de la fonction agenda. Je reste sur ma politique de n’accepter en relation que les personnes que j’ai rencontré au moins une fois.

J’utilise plus aujourd’hui qu’hier

Dropbox  : Concurrence oblige mon quota est passé de 50 Go à 100 Go (106 en fait). J’utilisais déjà ce stockage de fichier dans le clous de manière assez libérale, disons que je ne me suis pas arrangé ! Les partages de répertoires à titre professionnel ou privé sont toujours simples et pratiques. Longue vie à Dropbox !

Evernote  : J’ai aussi élargi mon usage d’Evernote ! De la simple prise de note sur le vif je suis passé à la préparation de posts en mode brouillon (y compris celui-ci), le stockage de cartes de visites, de documents, le partage de notes avec mes équipes, etc… J’ai écris un post sur ce sujet il y a 6 mois. Bref est arrivé ce qui devait arriver : suis passé au plan premium il y a un petit mois de cela …

Producteev  : Toujours mon outil de prédilection pour gérer ma todo liste. Il a peu évolué de mon point de vue, à part la liste de tâches que j’apprécie bien. Par contre l’interface a des comportements assez curieux et je n’arrive toujours pas à configurer la fin de la journée à minuit ! Une application iPhone existe que j’ai évidemment installé … mais que je n’utilise pas au final !

Tumblr  : J’avais commencé assez doucement Tumblr en fin d’année dernière. Avec environ 280 posts à ce jour je crois que l’on peut dire que “je l’utilise plus” ! J’ai non seulement pris un rythme de croisière, mais diversifié mes publications : notes de lecture, comptes-rendus de conférence avec photo (j’ai même fini par acquérir un APN de bonne qualité pour cela), articles PDF, présentations, citations, etc… La “vanité URL” en est la cerise sur le gâteau.

Les nouveaux venus

Dashlane : Une belle galère de gérer ses mots de passes et de les sécuriser correctement. Il existe quelques solutions sérieuses pour cela, mais pas beaucoup. J’ai choisi Dashlane, franchement sérieux, très sérieux et pratique ! Et j’en finis avec le trousseau d’accès du Mac. C’est certainement parmi mes “nouveaux” celui qui me donne le plus grand surcroit de confort : je diversifie et renforce mes mots de passe, je ne stocke plus rien dans le navigateur et je laisse Dashlane me connecter sur les sites ! Sans compter les quelques fonctionnalités annexes que je vais vous laisser découvrir !

Flickr : Flickr n’est pas vraiment le dernier truc à la mode qui monte. De là à penser qu’il faut être un foutu has been pour classer ce service dans les “nouveaux venus"… En fait je trouve Flickr assez pratique pour publier mes photos sur Twitter. Ne serait-ce que parce qu’il propose un redimensionnement de très bonne qualité. Sans être mortelles, les fonctionnalités sont potables : des albums que l’on peut regrouper, etc… L’ergonomie est d’un autre siècle et c’est sans doute pour ça que je ne l’exploita pas encore pleinement. Mais le service est là, donc…

Disqus : J’ai intégré Disqus dans Tumblr pour les commentaires, c’est surtout pour cela que Disqus figure ici. Donc un usage très modéré je dois dire, cr j’ai très peu de commentaires sur mes posts !

Issuu : C’est la solution que j’ai trouvé pour stocker, partager et intégrer des documents PDF dans Tumblr. La liseuse est peut-être en Flash, mais franchement elle a de la gueule ! Les fonctionnalités du services ne sont pas mal non plus, une fois que l’on s’est accoutumé à la logique …

Capitaine Train : J’achète maintenant mes billets de train exclusivement ici ! C’est simple, rapide et zen ! Bravo à cette startup française d’avoir su combiner la qualité de service et la relation client. Un projet monté en ce qui ressemble fort à du Lean Startup !

Ideascale : Ideascale figure ici car nous l’utilisons pour les propositions de sessions pour certains évènements du SUG. Maintenant, pour tout dire, je ne suis pas franchement conquis.

A l’année prochaine !

Le nombre de services que j’utilise est en légère augmentation depuis l’année dernière. C’est surtout parce qu’il y avait certaines choses que je ne confiais pas encore au cloud. Si beaucoup d’entre-eux ont une "dimension sociale” je ne les utilisent pas ou peu en ce sens. Je ne cherche pas à avoir des “amis” ou à suivre qui que ce soit sur Flickr ou Slideshare, c’est moins vrai sur Tumblr. Le seul pur réseau social à figurer ici est Twitter.

Même si certains services semblent proches ou identiques, je segmente leurs usages :

  • Je n’utilise Trello que pour les projets, alors que Producteev est une pure todo liste au jour le jour
  • Si Slideshare et Issuu peuvent tous les deux stocker et présenter des documents, Slideshare me sert pour mettre en ligne mes présentations uniquement, alors que ce sont des articles en PDF que je confie à Issuu.

Voilà pour cette année. Rendez-vous dans 12 mois pour faire le point.

Evernote Meetup (en images)

De passage pour la conférence Le Web, des membres du staff Evernote nous proposaient une petite rencontre dans un lieu convivial, à savoir La Mutinerie, dans le 19ème. On est d’ailleurs bien accueillis par les membres du staff : une petite étiquette autocollante qui ne colle pas, mais surtout un petit sac en toile Evernote avec quelques goodies. Bon, y’a surtout un tee-shirt !

Allez zou, direction la cave pour un discuter un peu avant les présentations.

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Je retrouve des habitués des Meetups de Pierre Journel (Pierre arrivera plus tard dans la soirée). L’espèce d’arrosoir vert typé Evernote distribue le breuvage officiel de l’éléphant vert. Ce n’est pas très bon.`

Dans la salle de présentation nous sommes accueillis par l’un des responsables de La Mutinerie.

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Rafe Needleman qui est plateform advocate chez Evernote ouvre les festivités. Le temps d’évoquer son blog opportunitynotes qui vaut certainement le détour.

John McGeachie vient nous parler principalement de l’offre business (même si je note au passage qu’il y a aujourd’hui 45 millions d’utilisateurs d’Evernote. Cette offre business a été largement relayée par ailleurs, j’en résume quelques caractéristiques:

  • Les carnets de notes appartiennent à l’entreprise. Ils ne sont pas subordonnés à un employé et à son départ.
  • On peut combiner dans son compte Evernote ses carnets personnels et ceux de l’entreprise.
  • C’est toujours Evernote et toujours les fonctionnalités que nous connaissons.
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Tiffany Muehlbauer est ambassadrice Evernote. Ca existe ! En fait, il y a même des “small business ambassadors” tels que Jimmy’s iced coffee. Ce sont simplement des gens ou des sociétés ne travaillant pas pour Evernote mais enthousiastes utilisateurs du service et prêts à en parler. En fait, j’aurais l’occasion de parler avec l’un d’entre eux à la fin, qui m’a présenté Evernote Hello. Le truc de Tiffany apparemment, c’est plutôt Evernote Food. Chacun son truc.

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Le quart d’heure du développeur était assuré par Damian Mehers. Damian travaille sur la version Windows Phone d’Evernote. Damian développe deux points en particulier :

  • On n’a pas besoin d’être affilié à Evernote pour développer une application : toutes les API sont publiques.
  • Pourquoi travailler chez Evernote ? Parce que c’est un très bon endroit où travailler : pas de politique, pas de questions d’ego et les décisions se prennent rapidement !

Je discuterais un peu avec Damian après sur leur processus de développement. Il se rapproche de celui de Google, donc d’inspiration agile, mais sans ressembler complètement à l’un des processus connus type Scrum ou Extreme Programming.

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Un (petit) aperçu de l’auditoire en attendant l’intervention de Sina Khanifar…

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Sina Khanifar a gagné le Hackaton Tech Crunch avec l’application Memstasch. Cette application a pour but de vous aider à ancrer des choses dans votre mémoire en utilisant la technique de la répétition espacée.

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Le temps de discuter avec les uns et les autres, comme Maxence, rencontré au Paris Evernote Meetup (et réalisateur d’une excellente app iPad), il est bientôt temps de conclure cette excellente soirée.

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Comment j’utilise Evernote

Lors de la dernière rencontre Meetup Evenote, nous avons échangé sur nos cas d’usage d’Evernote.

J’avais par ailleurs évoqué les outils 2.0 que j’utilisais en Décembre 2011. Il est temps de revenir plus spécifiquement sur Evernote et d’en détailler mes cas d’utilisation.

Les carnets de note

J’entends souvent la question des carnets de note versus les tags. Certains utilisent très peu de tags, mais un grand nombre de carnets de note (y compris des carnets organisés hiérarchiquement). D’autres utilisent très peu de carnets de note, mais un grand nombre de tags. C’est mon cas.

J’utilise en tout 7 carnets de note, dont 3 sont à usage professionnel. C’est peu, voir très peu par rapport à ceux qui utilisent Evernote de manière intensive, mais j’ai essayé d’optimiser le nombre de ces carnets de note, Je m’embrouille néanmoins régulièrement ! Une dernière chose : même avec seulement 7 carnets il parait utile de limiter la confusion. J’utilise une pile de carnets, pour mes carnets à usage professionnels. Justement, parlons-en.

Utiliser les partages

Des 3 carnets de note à usage professionnel, j’en utilise un pour les notes, essentiellement prises en réunion que je souhaite garder pour moi.

Les deux autres carnets ont été créés afin de partager mes notes avec chacune des équipes que je gère. N’ayant pas franchi le pas “premium” ces carnets sont en lecture seule pour les membres des équipes qui ont accès. En fait, c’est aussi bien. Mon objectif n’est pas de créer un espace collaboratif (nous utilisons plutôt GitHub ou Google Docs pour cela) mais de mettre à disposition des personnes concernées les notes que j’ai pu prendre (là encore souvent en réunion, mais pas seulement) et qui les concernent. Bref de gagner du temps et de l’efficacité par rapport à la bonne vieille diffusion par mail !

Zero papier

Mon but premier était de remplacer le bon vieux cahier de notes. L’objectif n’est pas complètement rempli à 100%, car il reste le cas des schémas… mais globalement oui c’est le cas !

Mes carnets de note sont “physiques”

A une exception près sur laquelle je reviendrais, je ne déplace pas mes notes entre carnets. Chaque carnet correspond à un pan de mon activité professionelle ou privée et le but des carnets de notes est de les cloisonner. D’autres utilisent les carnets de notes pour matérialiser des états de workflow, par exemple. Ce n’est pas mon cas.

Les Tags

Comme je l’ai dit, j’utilise beaucoup de tags, environ 150. Je passe dessus régulièrement, disons tous les 3 ou 4 mois pour regarder ce qu’il en est des tags peu utilisés, c’est à dire ayant 2 ou 3 occurences et moins. Visiblement c’est plus que beaucoup de personnes. Certains semblent trouver difficile de tagger de manière pertinente les notes avec un si grand nombre de tags. Je ne sais que répondre, sinon que cela ne me pose pas de problème !

Quelles notes ?

Compte-rendus

Je l’ai évoqué tout à l’heure, j’utilise beaucoup Evernote pour prendre des notes en réunion ou même faire un compte-rendu en “live”. Il m’arrive de faire ce compte-rendu connecté à un projecteur, permettant ainsi aux participants de faire des remarques ou d’apporter des précisions e direct. On gagne beaucoup de temps ainsi ! Il arrive même que certains membres de l’équipe lisent ces notes en direct et apportent leurs réponses ou leur contribution à peine la réunion finie !

Petites notes sur le vif

Je prend très peu de notes sur mon iPhone. Il n’est définitivement pas fait pour cela, sauf pour dépaner ! Je ne le fais que pour noter deux ou trois mots clés sur lesquels je ferais des recherches lorsque j’écoute un podcast. J’apprécie alors qu’Evernote inscrive directement en titre de la note la référence du podcast sans que j’ai à le faire ! L’autre cas plus rare encore est une note à propos d’un livre quand je lis dans les transports (ce que je fais très souvent). Encore une ois, c’est très sibyllin. Il s’agit typiquement du type de note que je détruit ensuite. Car j’ai oublié de dire que je suis le genre de gars qui conserve ses notes jusqu’à la fin des temps. J’aurais l’occasion de reparler de ce point.

Préparation d’articles

Les posts que je prépare pour mon blog (dont celui-ci) sont tous écrits au préalable sur Evernote. C’est en principe un peu limite par rapport à la taille des textes pour lesquels l’outil est prévu, mais là encore je m’en sort sans trop de problème. Un copier-coller et un peu de travail cosmétique suffisent à rendre l’ensemble correct. Pourquoi faire ce travail sur Evernote ? Tout simplement parce que l’outil fonctionne online et offline, le mode brouillon de Tumblr ne permet que le Online. L’alternative est évidemment le bon vieux fichier texte avec un éditeur de texte (TextMate, TextWrangler ou même MS Word). Mais je suis bien décidé d’en finir avec les fichiers texte qui trainent partout ! De plus le stockage sur Evernote me fournit un archivage de ces textes sur lesquels j’ai souvent passé un temps non négligeable. Je ne voudrais pas les perdre simplement parce que j’ai fait confiance à un seul et même site…

Bien sûr une petite fonctionnalité de publication sur Tumblr depuis Evernote serait bien sympathique ! Pas vraiment critique, mais quand je vois la qualité et la simplicité de la même fonction sur Flickr, je me dis que…

Photos

C’est une fonctionnalité que j’utilise vraiment de manière très anecdotique ! Parfois je prend en photo un paper board ou un affichage public qui contient des informations qui m’intéressent. Si je l’ai fait une diszaine de fois, c’est le bout du monde…

Cartes de visite

C’est une utilisation tout à fait étonnante, mais dont j’avoue qu’elle ne m’est d’aucune utilité ! Pour ceux qui ne connaissent pas, voilà comment ça marche:

  • On vous remet un carte de vite: vous la prenez en photo (avec votre smartphone sur lequel est installé l’application Evernote). Bon, pas tout de suite, vous attendez que votre interlocuteur soit parti, sinon vous passez pour un gros geek!
  • Une fois enregistré votre note contenant la photo de la carte de visite, Evernote va opérer l’OCR de cette photo pour en détecter les mots. Ca marche très bien.
  • Une fois cela fait, grâce à l’indexation full text qu’opère sytématiquement Evernote, vous pouvez retrouver la carte de visite en cherchant des mots-clé !

Aujourd’hui j’utilise cette fonction pour le fun, mais en réalité je saisis mes contacts à la main. Je n’en ai pas tant que cela, et en avoir trop (j’en ai déjà plus de 200) rend la consultation de celui-ci pénible ! A terme j’en ferais peut-être un usage plus important, car j’ai beaucoup plus de cartes de visite que je n’en saisi dans mes contacts. Cele me permettrait en outre de mettre des notes personnelles. C’est certainement que je n’ai pas pris le pli, je devrais sans doute essayer de manière plus assidue !

Notes audio

Voilà la chose que je n’utilise pas du tout ! Je n’ai jamais été un utilisateur du dictaphone, je ne suis pas plus un utilisateur des notes audio. Je sais que c’est le moyen le plus partique de prendre des notes sur son iPhone, simplement ce n’est pas mon truc. Voilà, c’est dit !

Web Clipping

Comme me le disait Pierre Journel, c’est moi le gars qui n’utilise pas le Web Clipping !

En fait, ce n’est plus tout à fait vrai.

Non au Web clipping de bourrin

Clipper des pages Web bariolées et encombrées de trucs dans tous les sens ne m’a jamais paru très utile. Je préfère largement bookmarquer une page qui m’intéresse dans ce cas. En tout cas, le Web Clipping brut ne m’a jamais incité à faire de la lecture différée sur cette base.

Evernote Clearly

Puis est arrivé Evernote Clearly ! Pour ceux qui ne connaissent pas et lisent régulièrement des articles ou billets de blog sur le Web, Clearly permet de se débarrasser du contenu non utile pour avoir une page blanche où ne figure plus que le contenu utile, aussi lisiblement que sur un ebook ! Mieux, quand l’article est découpé en pages, Clearly vous rassemble les morceaux et il vous permet d’ajuster la taille de la police de caractère.

Avec Evernote Clearly, je suis beaucoup plus disposé non seulement à lire des articles, mais à les mettre en attente pour les lire plus tard. Et voilà revenu le Web Clipping (car le Web Clipping marche aussi sur une page nettoyée par Clearly), qui me permet de lire ce qui m’interesse à tête reposée ou quand je n’ai pas de liaison internet ! 

Lecture différée

Je parlais de lecture différée avec le Web Clipping, mais ce n’est pas la seule manière dont je met des choses en attente. Les deux autres cas d’usage sont les flux RSS et le fil Twitter. Pour cela j’utilise IFTTT.

IFTTT permet de connecter des canaux d’entrée sur des canaux de sortis sous certaines conditions. Une fois configuré IFTTT, on peut tout simplement l’oublier ! Franchement, je me demande bien quel est leur business model… Toujours est-il que cela marche très bien. J’ai configuré deux flux depuis IFTTT

Depuis Twitter

J’ai configuré IFTTT de manière à m’envoyer les Tweets auxquels sont associés des liens que je juge intéressant vers Evernote. Il me suffit pour cela de mettre le Tweet en favori. Je dédie un carnet de note “à traiter” à ces envois, qui me sert de gare de triage. En effet, je consulte en bonne partie mes tweets depuis mon iPhone, et j’ai abandonné l’idée de lire des pages Web non formatée pour un usage mobile dessus !

Je détruit donc la plupart des notes que je dépile de mon carnet “à taiter”, parfois je conserve le lien dans Diigo.

Mais qu’en est-il de MyEn ? J’avais commencé à utiliser cette fonction. Mais honnêtement, depuis que j’utilise IFTTT, je ne vois pas l’intérêt de continuer. Je l’ai donc abandonné.

Depuis Google Reader

C’est à peu près le même cas de figure que précédemment. J’ai configuré IFTTT de manière à envoyer les sujets que je met en favori vers mon carnet de note “à traiter”. La suite du processus est identique.

Stockage de documents

Une autre fonctionnalité que je n’utilise pas aujourd’hui. Elle semble attrayante, surtout avec l’indexation “full text” accessible en premium ! Je pense que j’y viendrais un jour, progressivement.

Les “killer features”

Le mode offline

C’est pour moi l’aspect le plus séduisant. Bien sûr on peut arguer qu’aujourd’hui on est “online” partout, mais ce n’est pas vrai. On a pas tous une clé 3G et la réception n’est pas de qualité où que l’on soit. De toute manière, je n’ai pas envie de dépendre en permanence d’Internet pour tout ce que je fais ! OK, des fois, je n’ai pas le choix…

Le cloud d’aujourd’hui, c’est pour moi celui qui permet d’effacer la limite online / offline, de synchroniser mes devices entre eux, d’être connecté aux autres sans que cela soit un poids ou une contrainte. C’est ce que permettent des services comme Dropbox ou Evernote.

Des applications spécifiques !

Quand j’ai proposé à mes équipes d’accéder à mes notes par Evernote, ce qui m’a le plus intrigué, c’est de les voir tous utiliser l’application Web ! Pour ma part je ne l’utilise jamais. J’utilise les applications spécifiques pour Mac, pour Windows et pour iPhone. Ces applications vous font tout simplement oublier que vous utilisez un service en ligne !

Le business model

Beaucoup de services proposent un modèle gratuit tellement limité que l’on est obligé de se poser la question du service payant très tôt dès que l’on en fait un usage sérieux. C’est souvent à ce moment-là que l’on abandonne, car on n’a pas encore eu l’opportunité de s’en faire une bonne idée !

Evernote est un modèle de service que l’on peut pousser très loin avant de passer au modèle payant. Tous les utilisateurs dont j’ai eu connaissance qui ont eu un usage tellement intense que cela nécessitait le passage au “premium” ne se sont pas posé la question arrivé à ce point ! En fait de nombreux utilisateurs passent même au premium bien avant d’en atteindre les limites, simplement car le service rendu le justifie !

Je sais, je semble faire la publicité du service … Evernote veut être avec l’utilisateur dans la durée. Le business model est construit autour de cela, et ça me va !

Des extensions

Ce n’est pas ce qui attire le plus mon attention, mais le service ayant désormais une certaine notoriété, il était logique de voir fleurir quelques extensions. Outre le Scanner Fujitsu, je retiens surtout le Livescribe Smartpen auquel je resiste encore un peu… Je suis sûr qu’il y en a beaucoup d’autres que je ne connais simplement pas.

Ce que j’aimerais

L’archivage

Comme je l’ai dit, j’ai horreur de supprimer quoi que ce soit. Or il se peut que j’arrête certaines activités, ou même que je change d’emploi un jour. J’aimerais garder trace de tout cela sans que cela encombre mon horizon présent. Idéalement voilà ce que cela donnerait:

  • Je ne verrais plus les carnets de notes archivés (sauf dans une vues “archives”).
  • Les Tags uniquements utilisés dans les carnets de notes archivés ne seraient plus visibles non plus.
  • Les recherches se limiteraient aux carnets actifs, sauf option explicites à ce sujet.

L’interfaçage avec ce que j’utilise

Quand on en a beaucoup, on en veut toujours plus ! Certes, IFTT permt déjà pas mal de choses, mais je souhaiterait pouvoir utiliser plus facilement mes outils 2.0 avec Evernote:

  • Associer une note dans une carte dans Trello.
  • Pouvoir faire figurer de même une note dans un item de liste dans Producteev.
  • Pouvoir lier une note dans une conversation dans Yammer sans devoir transformer celle-ci en fichier !

Une gestion plus fine des tags

Les tags sont toujours globaux et c’est bien dommage. J’aimerais séparer ceux que j’utilise pour les différents carnets de notes et remonter leur visibilité au niveau global explicitement.

Le problème de ceci, c’est que c’est une fonctionnalité de geek qui rendrait l’utilisation d’Evernote nettement moins intuitive. Je dois me faire à cette idée: toutes les fonctionnalités ne méritent pas d’être implémentées…

Plus de possibilités de mise en page

Evernote n’est pas Word, et il offre déjà quelques fonctionnalités de mise en page simples pour les notes de tout les jours. Maintenant, ce serait bien d’avoir un peu mieux sans transformer l’outil en usine à gaz…

Une offre entreprise

J’utilise des carnets de note pour partager des éléments avec mes équipes. Il est assez facile d’imaginer comment étendre la fonctionnalité à un groupe d’un peu plus de 10 personnes:

  • L’utilisation d’un annuaire global ou l’on puisse ajouter / retirer des membres.
  • Une gestion de groupes, voir des groupes hiérarchiques auxquels on pourrait des droits en lecture ou en  écriture aux carnets de notes.
  • Une gestion de tags globaux et partageables.
  • Un quotas de volume définit au niveau de l’organisation.

A priori, ce n’est pas dans l’agenda de Phil Libin. Dommage…

Ce que je devrais essayer

Deux choses me viennent à l’esprit, que j’ai cité plus haut dans mon billet:

  • Le Livescribe Smartpen. J’avais utilisé précédemment le même accessoire (du moins dans sa génération précédente) de Logitech. Je dois avouer que c’est plutôt à première vue un gadget pour me faire plaisir.
  • Le stockage de documents.

Avec ce dernier point vient la question du passage en premium. Oui, je le ferais certainement, le prix du service est tout à fait modéré, et si mon volume de notes actuel ne le nécessite pas, l’usage que j’en ai aujourd’hui pourrait déjà le justifier.

J’attends maintenant avec impatience le prochain Evernote Meetup. Cela me donnera certainement de nouvelles idées d’usage.

2.0, I me mine

En ce début d’année, j’ai voulu faire le point sur les outils du Web 2.0 que j’utilise, ceux que j’utilise de plus en plus et ceux que j’utilisent moins. Ainsi que ceux que finalement je n’utilise pas ou plus du tout !

DropBox (http://www.dropbox.com/) : Certes, ce n’est pas vraiment nouveau, mais j’y met de plus en plus de choses. Je suis d’ailleurs passé au plan 50 Go cette année ! Ce fut d’abord le moyen le plus simple de partager des fichiers entre un MacBook et un PC sous Windows. C’est maintenant entre 2 PCs, un MacBook et un iPhone ! C’est aussi un moyen de partager des fichiers avec des personnes de mon équipe. C’est vraiment devenu un outil quotient cette année.

Evernote (http://www.evernote.com/) : Encore un outil avec lequel je suis monté en puissance cette année, je l’utilise réellement au quotidien aujourd’hui. Il y a de nombreuses choses que j’apprécie sur Evernote:

  • La simplicité: Quand on veut prendre des notes en réunion, jeter 2/3 idées sur la papier (pardon, sur le clavier), il n’y a presque rien à faire ! Les possibilités de formatages sont assez basiques (mais elles existent), mais simples d’emploi et parfaitement adaptées à la prise de note. On ne se met à utiliser les différentes possibilités (carnets multiples, tags) que progressivement. J’apprécie aussi la recherche “full texte” dans les notes … y compris sur les photos où Evernote applique un traitement OCR plutôt convainquant !
  • Le mode déconnecté: Comme plus de 80% des utilisateurs, j’utilise l’application “stand alone” plutôt que le Web. Ainsi je peux prendre mes notes sur mon portable sans me soucier de la connexion et les retrouver sur mes autres machines plus tard en laissant Evernote synchroniser quand il le peut. Aujourd’hui j’utilise Evernote sur Mac, sur PC et sur iPhone.
  • Le pricing plan: On peut aller très loin avec la version gratuite. En fait, il faut vraiment être un gros utilisateur d’Evernote pour devoir passer au plan payant. Aujourd’hui j’utilise le plan gratuit, mais si un jour je dois passer à la version payante, je ne pense pas que je me demanderais si cela en vaut le coût ! Ici, on ne paie pas pour voir, on ne paie qu’arrivé à un stade où on est de toute façon convaincu !

Plus j’utilise Evernote, plus je lui découvre de nouveaux usages, avec Evernote Clearly, par exemple, mais aussi avec le partage de carnet de notes.

Producteev (http://fr.producteev.com/) : Je ne sais pas encore dire si c’est une application que je vais garder, mais elle est suffisamment simple d’usage pour que je finisse par lâcher ma todo liste papier, à laquelle je tenais pourtant ! des étoiles, des tags et des échéances, je n’ai besoin de rien d’autre. Encore à l’essai pour l’instant ! Il existe une application iPhone qui se synchronise avec l’application Web, mais si je l’ai bien installée, j’avoue que je ne l’utilise pas.

Trello (https://trello.com/) : J’ai essayé, et j’ai délaissé … mais j’y reviendrais peut-être ! Honnêtement, j’aime beaucoup le principe (type Kanban) et l’interface intuitive et fluide. Mais Trello convient surtout pour traiter les projets, petits ou moyens. Pour gérer une todo liste de tâches au jour le jour, Producteev me semble plus adapté. J’ai un ou deux projets personnels dans mes cartons pour 2012, dont je ferais certainement le suivi avec Trello !

Meetup (http://www.meetup.com/) : Ce n’est pas vraiment un outil de productivité personnel, mais plutôt le point de rencontre principal des membres du French Scrum User Group (http://www.meetup.com/frenchsug/). Je l’utilise par conséquent dans le cadre de l’association ! 

Yammer (https://www.yammer.com/) : Encore un outil que l’on utilise dans le cadre du SUG, mais cette fois entre les membres du bureau. L’outil est bien fait pour gérer les échanges. Mais il lui manque une certaine polyvalence, pour gérer des projets, par exemple. Mais la gestion des fils de discussions, la création de groupes et la gestion de réunions sont très bien, y compris la gestion des pièces jointes, des tags, etc… Le manque de polyvalence de l’outil nous amènera cependant peut-être à déménager !

Il y a une application Adobe Air pour travailler en mode déconnecté, je la trouve franchement moins bien que l’application Web. L’application iPhone n’est pas terrible non plus, mais à avoir quand même, pour disposer de tout en offline.

Podio (https://podio.com/) : Peut-être le successeur de Yammer, au sein du bureau du SUG ? Il semble permettre la même chose que Yammer en terme de fil de discussions, avec en plus une gestion de projets ! Podio semble aussi disposer d’un ensemble de plugins permettant de l’étendre ou de le faire interagir avec d’autres outils. Toutefois, l’IHM a parfois des comportements hasardeux et j’ai été incapable de faire fonctionner le plugin Evernote par exemple. Bref, bien dans le principe mais semble manquer de fini en pratique. On verra ce que l’on fera en 2012 !

Tumblr (http://www.tumblr.com/) : Le blogging facile. J’ai laissé tomber le reste pour ne plus poster qu’ici. Il manque comme même la possibilité de laisser des commentaires ! Plutôt fait pour les posts courts, j’y met quand même des posts (très) longs. L’appli iPhone pour suivre les autres blogs est un plus, mais je m’en sers peu.

GMail (https://mail.google.com/) : pas nouveau, c’est le moins que l’on puisse dire (ça fait 7 ans que j’y suis), mais terriblement efficace. La nouvelle interface est abominable (je suis retournée à l’ancienne), mais l’intégration avec Google Docs et Google plus est redoutable. J’utilise la version Web essentiellement au bureau, l’universalité de ce mail fait qu’il se configure en un clin d’oeil sur le Mac ou l’iPhone, ce que j’ai fait. 

Google Doc (https://docs.google.com/) : Je sais que c’est la honte de dire ça, mais je n’utilise pas Google Docs. Je veux pouvoir travailler en ligne ou hors ligne, et surtout hors du browser, ce que Google Docs ne permet pas ! Donc je vais surtout sur les docs réalisés par d’autres, mais c’est tout. Je rêve d’un Google Doc qui serait en fait Office en “mode Evernote” ! Pour moi, aujourd’hui c’est Microsoft Office + DropBox !

Diigo (http://www.diigo.com/index) : Un outil de bookmarking. Encore un, allez-vous dire ? Personnellement, je suis bien plus à l’aise avec celui-ci qu’avec http://delicious.com/ ! Plusieurs petites fonctionnalités me plaisent:

  • Outre le tagging, on peut ranger ses bookmarks dans des listes ou des groupes, privés ou publics.
  • Les groupes, justement, permettent de partager des bookmarks sur des thèmes pointus. On peut même y commenter les bookarks des autres, en fait initier de véritables discussions.
  • Le pluggin pour Chrome permet non seulement de bookmarquer, mais aussi d’annoter ou de surligner le texte d’un site ! Franchement, c’est bluffant.

J’utilise Diigo depuis peu, je ne saurais dire si je vais persister dans son usage, mais franchement, c’est bien parti !

Tweeter (https://twitter.com/) : On ne présente plus Tweeter. Je tweet assez peu. Cela me sert à signaler du contenu que je trouve intéressant (technologies, agilité, développement informatique très essentiellement), pour signaler des évènements ou pour indiquer des posts que j’ai pu faire par ailleurs.

Dans l’autre sens, cela me permet de rester informer essentiellement sur des tendances langages de programmation, frameworks, bases de données, etc…

Je ne pratique pas le Twitter “live”, trop chronophage et perturbant en journée, j’ai tendance à différer mes lectures en fin de journée.

LinkedIn (http://www.linkedin.com/) : Je mentirais en prétendant passer beaucoup de temps sur LinkedIn. Mais il reste mon outil de prédilection pour mes contacts professionnels, plus que Viadeo. Clairement, le “Web social” n’est pas mon truc. 

Google Plus (https://plus.google.com/) : Je ne suis pas sur Facebook ! Ou plutôt, si j’ai un compte, je suis ce qu’on appelle généralement un “log down”. Mon niveau de post sur G+ … frise le zéro absolu. Je fais parfois des commentaires sur les posts des personnes que je suis mais sans plus, et même ce suivi est pour le moins très irrégulier. Au risque de me répéter, le “Web social”…

IFTTT (http://ifttt.com/) : Pluôt inattendu, ce service est une sorte de gros routeur entre différents services de premier rang: Facebook, Twitter, Google+, Instapaper, Diigo, Evernote, Google reader, Tumblr, Google mail, etc… Il permet d’effectuer certaines actions sous certaines conditions. Comme l’indique son nom “If This Then That”. J’y ai configuré quelques canaux, essentiellement pour envoyer vers Evernote des choses que je marque en favori dans Google reader ou Twitter afin de lire cela en différé et/ou hors ligne.

github (https://github.com/) : D’accord, je ne suis pas encore un gros utilisateur de github ! Vais-je le devenir un jour ? Quoi qu’il en soit, il arrive bien en tête pour moi par rapport aux solutions plus ou moins équivalentes comme Google Code…

Quora (http://www.quora.com/) : Comme beaucoup, j’ai là-dessus cédé à l’effet de mode. J’y ai passé un certain temps au début, mais je n’y retourne plus guère. En fait, j’ai répondu à bien plus de question que je n’ai lu de réponses utiles. J’ai pour ma part posté que très peu de question, mais jamais reçu de réponse en retour. Bref, un théoriquement un bon outil pour se construire une réputation, mais c’est tout. Je vais certainement continuer à y aller de temps à autre pour cette raison. Eh oui, j’ai quand même Jeff Sutherland parmi mes followers !

Stackoverflow (http://stackoverflow.com/) : Quora est peut-être trop généraliste pour être un site de référence pour les questions / réponses ? Ce n’est pas le cas de stackoverflow qui est clairement solide pour tout ce qui est du développement logiciel, et là on y trouve presque toujours une réponse valable, si ce n’est LA réponse. Pourtant je dois l’avouer … je n’a pas de compte sur stackoverflow !

Voilà, je pense avoir passé en revu le principal ! Rendez-vous dans un an pour faire le point.