We can define what we do but what we do should never define us.
SimonSinek

We can define what we do but what we do should never define us.
SimonSinek
Henrik Kniberg communique beaucoup autour de Spotify qui constitue aujourd’hui le gros de son activité !
J’avais partagé précédemment les papiers de Kniberg sur l’agilité à grande échelle et la manière dont Spotify construit ses produits.
Cette vidéo, ou plutôt cette animation nous explique à la fois le cheminement, l’organisation et la dynamique de cette “culture agile”.
Pour résumer plus brièvement cette vidéo, peut-être préfèrerez-vous la fresque ?
J’attendais cela depuis un moment, depuis le milieu de l’été pour être plus précis. Car Pierre Hervouet nous avait invité à venir partager avec la communauté Libanaise pour cette seconde édition de l’Agile Tour Liban ! Nous étions donc 4 Français à nous envoler vers le moyen-orient le vendredi matin pour une conférence qui se déroulerait en week-end.
‘Oh, you can’t help that,’ said the cat. ‘We’re all mad here.’
Lewis Carroll in Alice in Wonderland
Les agilistes ne sont guère friands de normes et autres standards. Généralement, nous nous contentons de les ignorer. Néanmoins ils sont souvent utiles.
Note : 6 ; Pas les progrès espérés de cette seconde édition considérablement étoffée, mais avec une notation qui continue à se rapprocher de Rational plus que de UML / MDA
Seconde édition d’un ouvrage paru en 2000, ce volume considérable (450 pages), dont un tiers est consacré aux annexes. La première édition montrait une ébauche de profile UML pour les applications Web. Depuis un certain nombre de spécialisations ont vu le jour, notamment dans le monde JEE. Voyons ce qu’il en est.
Comme je l’ai dit, le corps principal du livre compte 300 pages, repartis en 2 parties et découpé en 12 chapitres. La première partie est consacrée à la modélisation des technologies relatives au Web et rassemble les 5 premiers chapitres. Le premier chapitre sert d’introduction et couvre 3 pages, n’en parlons pas. Le chapitre 2 est en fait la réelle introduction. Sur 20 pages, il fait le point sur les principales technologies et protocoles qui sont le quotidien des applications Web à la date de l’ouvrage. C’est plutôt bien écrit mais on y apprend pas grand chose.
Le chapitre 3 s’intitule « dynamic client ». On y évoque tout ce qui tourne autour du DOM, et ce n’est pas particulièrement superficiel. Il y a quelques tentatives timides de modélisation. Il est dommage qu’elles soient timides, car elles sont plutôt originales et bien pensées. C’est un chapitre court de 10 pages.
Anyone who has a continuous smile on his face conceals a toughness that is almost frightening.
Greta Garbo (via shaira11000)
Cet article est réellement le premier à présenter Scrum, c’était en 1995. Petit détail que j’ignorais, Ken Schwaber l’a mis en oeuvre pour le développement de Delphi ! Déjà l’auteur présente son approche comme étant « boite noire » et empirique, bien adapté au développement de systèmes complexes. Et oui, Scrum est bien en rapport avec le Rugby !
Bien sûr, à cette époque, il n’était pas encore question du mot « agile ». Ken Schwaber situe Scrum comme une évolution des procesus itératifs, non comme une disruption.
Quand il parle du développement logiciel, c’est toujours à la notion de complexité que revient l’auteur. Il la définit comme suit :
Complexité = f(dev. environnement var. + target env. var.)
Toutes ces varaibles changeant par ailleurs au cours du projet.
Deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche !
Michel Audiard in Un taxi pour Tobrouk