Note : 5 ; Une simple mise à jour.
Successeur de CVS, Subversion n’a pas encore complètement disparu du paysage, mais il est déjà un outil du passé. Cet ouvrage qui date du milieu des années 2000 nous rappelle qu’il n’en a pas toujours été ainsi. Cette seconde version couvre la version 1.3 de Subversion. Le texte grossit d’une dizaine de pages, et les annexes aussi, emmenant l’ensemble à 220 pages contre 200 précédemment. Le texte ne change guère sur le fond, il est juste annoté de quelques évolutions liées à la version 1.3 de subversion. L’esprit de cette série « starter kit » n’a pas changé : ni un manuel de référence, ni un guide de l’utilisateur, mais une manière de mettre en œuvre concrètement l’outil sur nos activités quotidiennes de développement !
Le texte principal compte à peine plus de 150 pages, structurés en 11 chapitres, auxquels il ne faut pas oublier d’ajouter pas moins de 70 pages d’annexes. Le texte s’ouvre sur un classique premier chapitre d’introduction. Il n’apprend pas grand-chose aux praticiens aguerris de la gestion de version, mais permet quand même d’évoquer quelques aspects particuliers à Subversion, tels que les changeset.
On attaque les choses sérieuses avec le chapitre 2 et les concepts essentiels de Subversion : repository, branches, tags, etc. ainsi que les actions classiques telles que check-in, check-out, merge ont au menu. Ce sont des fondamentaux clairement expliqués, mais nous ne sommes pas encore dans l’action. L’action, justement, elle commence au chapitre 3 où il faut installer l’outil, se familiariser avec la ligne de commande, créer repository et projet et mener à bien notre « hello world ». En réalité, on va un tout petit peu plus loin que le « hello world », mais si on a touché du doigt les commandes de base, on n’a pas encore travaillé en « grandeur réelle ».
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