Agile Playground #15

Un conflit d’agenda m’a fait raté le 14ème rendez-vous, c’était donc une bonne surprise de voir un Agile Playground programmé en cette première quinzaine de Juillet, alors que je croyais nos rendez-vous interrompus jusqu’en Septembre !

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Au programme de cette soirée, un ice-breaker sans prétention mais amusant proposé par Frank Beulé et une traditionnelle expérimentation de jeu.

Change agent

On est là pour expérimenter et Christophe Keromen a bravement défendu cette tradition avec une création vraiment difficile, je dois dire : le « change agent » inspiré du How To Change the World de Jurgen Appelo.

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Le principe :

  • 4 équipes devant s’approprier 4 des modèles décrits dans le livre de Jurgen Appelo : Dnce with the system (PDCA), ADKAR, la courbe d’adoption de Moore et les 4 « I ».
  • 2 tours de batailles (demi-finales et finales)
  • Un storytelling à monter pour chaque équipe à chaque tour. D’abord un exemple d’échec puis un exemple de succès.
  • A chaque tour, chaque équipe change de modèle.

En plus du modèle, nous disposions de cartes pense-bête dont il fallait montrer l’utilisation au fur et à mesure de l’histoire. Bien entendu, le tout était time-boxé, ce qui rendait l’exercice particulièrement difficile !

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Entre les 2 tours, nous avons fait une rétrospective éclair pour améliorer le fonctionnement. Ca a marché ! N’occultons cependant pas le principal : c’est mon équipe qui a gagné 😉

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Ce que j’en ai pensé

Je dois l’avouer : je ne me suis pas amusé durant ce jeu. Est-ce grave, docyeur ? Pas vraiment : l’agile playground est là pour expérimenter et Christophe a fait la tentative la plus audacieuse à laquelle j’ai assisté. Et cela doit être salué !
Nous avons donné (beaucoup) d’éléments à Christophe. Voici de nouveau les miens plus une ou deux choses dont j’ai discuté avec Xavier Galleri :

  • Double difficulté de l’exercice : trouver une histoire et comprendre assez bien le modèle pour l’appliquer à l’histoire. Quand on ajoute la contrainte du temps… Il faudrait proposer des trames d’histoire prêtes à être utilisées.
  • Le setup de la salle : la disposition des tables nous collait contre le mur, ce qui crée un style un peu guindé et une certaine pression psychologique.
  • Durant le story-telling, les autres équipes sont trop passives. On pourrait utiliser les cartes pour les faire participer. Un peu comme un loto…

N’oublions pas le plus important : le story-telling, ça marche ! C’est quand même l’ingrédient principal qu’a voulu utiliser Christophe et les remarques que nous avons faite ne doive pas occulté qu’il a réussi sur ce plan !

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