Chap 1 : Où l’on parle de flux
Le focus, au niveau de l’entreprise, qu’est-ce que cela signifie ? En premier lieu, de se concentrer sur la chaine de valeur. Et sur le flux, plutôt que l’utilisation des ressources. Le Value Stream Mapping est un des outils permettant de mettre en évidence les possibilités d’amélioration de ce flux.
Le corollaire est de se concentrer sur un petit nombre de features plutôt que sur des gros batches qui mettent du temps à passer dans le rétroviseur. Donc du Focus !
Chap 2 : Se faciliter la vie
Nous avons vu le problème du « trop de choses à faire ». Et le temps pour le faire est limité. Bien entendu, nous avons moins de temps disponible que de choses à faire. Mais en réalité celles qui sont indispensables n’en sont qu’une fraction. On pourrait appeler le reste des « options » ! Nous sommes maitres de nos choix, n’en devenons pas les esclaves.
Chap 3 : Tel un hamster dans sa roue
Les sollicitations nous viennent de toute part ! Elles créent un bruit qui nous empêche de faire ce qui est important. S’isoler de ces perturbations et se concentrer sur une seule chose jusqu’à ce qu’elle soit terminée, il n’y a rien de nouveau là. Quelques techniques peuvent nous aider comme le « zéro inbox » ou le Pomodoro.
Chap 4 : « non, merci »
Nous avons du mal à dire « non ». En tout cas, moi j’ai cette difficulté. Quand, comment et pourquoi dire « non », afin de se focaliser sur ce qui a vraiment de la valeur, c’est le sujet de cette partie. C’est ce que Henrik Kniberg appelle le « value filter ».
Chap 5 : s’échapper de la roue du hamster
Une seule règle : se ménager du mou. Mais du mou qui nous remettre dans une boucle vertueuse … pour enfin sortir du cercle vicieux !
Chap 6 : Ce que nous faisons définit là où nous sommes
Cela signifie (en clair), que pour être maître de notre destin, nous devons nous efforcer de donner la priorité aux tâches nous conduisant à ce que nous voulons faire. C’est un peu un raccourcis, mais c’est un peu l’idée ! Donc travaillons notre répartion de ccharge de travail, non pas en fonction des nécessités du moment (en tout cas pas seulement), mais en fonction de ce que l’on veut qu’elle soit !
Chap 7 : Une histoire (très) personnelle
Où Henrik Kniberg nous parle de son voyage autour du monde avec sa famille. Une approche qui me rapelle en de nombreux points le « solution focus » : plutôt que de lister ce qui nous empêche de le faire, se focaliser sur ce qui est nécessaire pour rendre cela possible. Et planifier ensuite ce qu’il y a à faire ou les expérimentations à mener qui vont valider les hypothèses.
Plus amusant, ce que les enfants ont appris sur la rationalisation de leurs affaires, qu’ils ont ensuite appliqué en rentrant à la maison !
Cet épisode a été largement exposé dans agile@home !
Chap 8 : World WIP Waste
La réutilisation n’est probablement pas du gâchis, car Henrik Kniberg se ressert à tour de bras du matériel de agile@home !
Le gâchis, c’est ce qui nous empêche d’aller vite, donc d’être agile. Dit autrement : on cours moins vite avec des bottes en plomb !