J’ai raté les trois premiers, je n’aurais pas raté le quatrième ! Deux jeux étaient au programme de cette nouvelle édition. Cela se déroule comme d’habitude chez Valtech, au 103 rue de Grenelle.
Première chose à faire en arrivant : choisir son jeu. J’aime bien l’originalité de la méthode : 2 boites contenant des balles de ping pong de couleur différentes. Chaque boite contient bien sûr un nombre de balles correspondant aux places disponibles ! Je choisis le très classique “buy a feature et prends la balle correspondante !
Ensuite on fait salon en attendant, en discutant avec d’anciennes connaissances ou de plus récentes. On est là aussi pour cela, n’est-ce pas ?
Pour ce Buy A Feature, 3 tables sont disposées et nous allons travailler sur le backlog d’une plateforme d’enseignement à distance.
Un backlog et une somme somme d’argent sont distribués sur chaque table.
Le backlog était imprimé sur une feuille A4, avec les prix associés. Comme l’a fait remarqué Gery Derbier, ce n’était peut-être pas le bon média car cela nous a empêché de manipuler plus physiquement l’argent mis à notre disposition. En fait, nous l’avons rapidement mis en commun ! Bref, on a bien pourri le jeu !
Un tableau avec les features à sélectionné et déplacer était aussi affiché au mur.
En fait, ce seul tableau, disposé sur une table aurait peu faire l’affaire. D’ailleurs l’une des équipe a procédé ainsi.
Dans cette équipe, Cyrille Martraire s’est efforcé de jouer au troll en exigeant les features les moins avenantes. Il y est parvenu en en obtenant plus qu’il n’avait lui-même d’argent !
Notre tableau, dans toute sa splendeur.
Yannick était l’un des maître de cérémonie. Ils étaient 3 en tout pour gérer les fauves…
… avec Audrey …
… et Nathaniel (et de nouveau Yannick).
De l’autre côté se déroulait le jeu de la compétition. J’y ait fait un passage éclair pour happer une photo, pas assez longtemps pour comprendre de quoi il s’agissait !
Une bonne soirée achevée, merci aux organisateurs.
Et à la prochaine soirée, mi-janvier. Yannick Ameur et moi-même y soumettons un jeu qu’il nous reste à travailler !